LES DES SONT PIPES

Les dés sont pipés.   En fait, ne l’ont-ils pas toujours été ? Les castes au pouvoir ont intérêt à stabiliser, voire organiser un certain chaos afin de pérenniser leur situation de rente. 

Le remboursement des dettes souveraines doit obligatoirement être à la charge du petit peuple et de ce qui reste de la classe moyenne. 

Les instances dirigeantes pourront ainsi officier dans la continuation du confort de leurs charges respectives, sans en perdre les bénéfices matériel.



Inciter les populations aux sacrifices en leurs proposant le paradis pour demain a toujours été l’apanage du pouvoir, sinon comment s’enrichir tant sur le plan collectif, qu’individuel.  La difficulté pour le politique consiste à trouver la juste distance entre le tribut exigé et l’effondrement du juteux système.

Se faire du bien sans tuer la poule aux œufs d’or. 



Ne rien faire qui puisse bouleverser le statut quo et induire à terme  des changements préjudiciables à la nomenclature. C’est bien là le drame de l’Europe.

Fédérée, à l’image d’une Suisse, l’Europe, dont les richesses sont considérables disposerait d’une puissance supérieure à celle des Etats-Unis, mais les mécanismes nécessaires à la mise en place de cette fédération représentent un réel danger pour bon nombre de politiciens en place. 



Les ambitions personnelles devraient céder le pas aux ambitions collectives. Les politiciens capables d’une telle abnégation se compteraient sur les cinq doigts d’une main. La crise pourrait se terminer très rapidement si les gouvernements avaient le courage d’intervenir d’une façon énergique et concertée contre le pouvoir financier, ce qui est hautement improbable. Les gouvernements sont eux-mêmes trop impliqués et doivent en partie leur existence à ce même pouvoir. 

Il est toujours difficile de mordre la main qui vous nourrit.

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